Machines à sous: un joueur Autrichien accroc est remboursé

Un joueur autrichien qui avait misé plus de 800 000 euros dans les machines à sous de Viennes vient d’obtenir gain de cause en prouvant qu’il était accroc aux jeux d’argent. En effet, un psychiatre a reconnu la dépendance de ce joueur aux jeux de machines à sous qui, de 2006 a 2010, avait dilapidé son argent dans les machines à sous de Vienne. En Autriche, il est possible de trouver des machines à sous dans divers endroits comme les stations services et bien d’autres lieux insolites pour jouer aux bandits manchots. Contrairement aux casinos terrestres, ces lieux n’interdisent pas l’entrée aux joueurs pathologiques et donc la tentation pour un accroc est grande d’aller dépenser quelques pièces qui se terminent en des sommes colossales.

Qui va rembourser le joueur pathologique?

C’est le cas de ce joueur autrichien qui a dépensé pour plus de 800 000 euros dans ces machines à sous. Sa dépendance a été constatée par un expert et a obtenu le remboursement de 438 000 euros. On ne sait pas vraiment comment la justice a chiffré une telle indemnité pour imposer aux salles de jeux de rembourser ce joueur. De plus, on n’est incapable de dire qui va rembourser une telle somme sachant que ce joueur a probablement fait le tour des lieux qui proposent ces machines à sous.

Exclusivité des machines à sous dans les casinos en 2015

Dès le 1er janvier 2015, seuls les casinos terrestres autrichiens seront en droit de proposer des machines à sous. Ainsi, ce type de mésaventure ne pourra plus se reproduire puisque les joueurs pathologique ne pourront pas pousser les portes d’établissement de jeux. Les joueurs devront donc se rendre dans un des douze casinos terrestres autrichiens comme le Casino Baden, Bad Gastein, Bregenz, casino Graz, casino Innsbrick, Casino Kitzuhel, Kleinwalsertal, Linkz, Salsburg, Seefeld, le casino de Velden et enfin le Casino de Vienne.

Les joueurs ne pourront jouer uniquement dans des casinos en dur et les machines à sous disparaitront des lieux autres que les établissements de jeux.

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