Les machines à sous au jackpot progressif ne sont pas des bandits manchots quelconques mais répondent à de nombreux critères très stricts. En effet, les casinos terrestres doivent se conformer à la loi et proposer des machines à sous au jackpot progressif qui se démarquent des machines à sous traditionnelles. Par exemple, un affichage lumineux sur le devant de la machine à sous est imposé et dès lors qu’un jackpot est décroché, seule une partie de la somme gagnée est payée sur la machine. Il est normal que la machine ne puisse pas reverser l’intégralité de la somme du jackpot car, que ce soit au Partouche Mégapot, ou au « Magic Casinos Jackpot », les sommes peuvent atteindre plusieurs millions d’euros. Or des machines ne peuvent pas contenir et déverser une telle somme si importante.
De plus, dès qu’un jackpot progressif est gagné, seule une personne du casino peut mettre à nouveau la machine en service et le paiement ne peut être manuel. Généralement, le directeur du casino se charge de cet acte puisque la photo du chèque en présence de l’heureux gagnant est souvent un support de communication auprès des médias et attire des joueurs dans l’établissement de jeu.
Autre obligation que les machines à sous doivent respecter, un voyant lumineux sur chaque machine à sous. Quand la porte est ouverte, le voyant s’allume automatiquement. Les règles de jeu doivent être clairement énoncées ainsi que les combinaisons gagnantes et le montant des paiements doivent être affichés sur la machine à sous.
Au sujet des jackpots progressifs multisites, les machines à sous doivent être identiques, de même marque, de même type, de même dénomination et de même programme de paiement. Ces obligations ont pour objectif de proposer une seule et unique machine qui soit la même sur l’ensemble du réseau des machines à sous quel que soit le groupe de casinos.